La femme peut-elle enseigner dans l'Église de JÉSUS-CHRIST ?

La femme peut-elle enseigner dans l'Église de JÉSUS-CHRIST ?

Dans un monde en proie à la confusion spirituelle, à l'apostasie grandissante et à la tolérance des fausses doctrines, il devient crucial de restaurer la vérité absolue de la PAROLE DE DIEU concernant le rôle de la femme dans l'Église de JÉSUS-CHRIST. Ce n’est pas une question de culture, d’époque ou d’opinion personnelle. Il s’agit d’une ordonnance céleste, ferme, claire et éternelle. DIEU n'est pas un DIEU de compromis ni d’ambiguïté, mais d'ordre et de sainteté. Toute tentative de contourner Ses instructions est une rébellion.

Une unité spirituelle, non une uniformité de fonction

Beaucoup invoquent Galates 3:28 pour soutenir la femme prédicatrice :

« Il n’y a plus ni homme ni femme, car tous vous êtes un en JÉSUS-CHRIST ».

Mais ce verset traite de l'accès au salut, non des fonctions ministérielles. Le fait que tous soient un en JÉSUS-CHRIST ne signifie pas que les rôles soient interchangeables. DIEU a défini des fonctions distinctes dans Son Église, et nier cette distinction, c’est tordre l'Écriture.

Une éffusion spirituelle, non un mandat pastoral

Joël 2:28 parle de prophéties, visions, songes. Il ne parle pas d’enseigner ou de diriger. La prophétie est un don de l’ESPRIT, non un poste de direction doctrinale. 1 Corinthiens 12:28 distingue les ministères : docteurs, apôtres, prophètes... Et il est écrit clairement : « Tous sont-ils docteurs ? », la réponse est non. L’ESPRIT distribue comme IL veut, pas selon les revendications humaines.

Le silence commandé aux femmes : une instruction du SEIGNEUR

1 Corinthiens 14:34-37 est sans ambiguïté :

« Que les femmes se taisent dans les assemblées… ce que je vous écris est un commandement du SEIGNEUR ».

Ce n’est pas une coutume juive ou une opinion de Paul. C’est une instruction divine. Le mépriser, c’est rejeter l’autorité du SEIGNEUR.

1 Timothée 2:11-14 insiste davantage :

« Je ne permets pas à la femme d’enseigner ni d’usurper l’autorité sur l’homme ».

Pourquoi ? Car Adam a été formé le premier, puis Ève. Et Ève a été séduite, pas Adam. DIEU établit l’ordre spirituel sur cette base.

La femme samaritaine : Un témoignage, pas une prédication

Jean 4 décrit une femme qui témoigne de sa rencontre avec JÉSUS. Elle n’a pas interprété l’Écriture, elle n’a pas prêché. Elle a simplement dit : « Venez voir un homme ». Le fruit final ? Les Samaritains crurent en JÉSUS à cause de Sa PAROLE, non la sienne (Jean 4:42). Elle a joué son rôle : témoigner. Mais elle n’a jamais prêché.

Philippiens 4:3 et Romains 16:1 : Collaboratrices sans autorité doctrinale

Paul salue des femmes collaboratrices, mais jamais enseignantes. Foebé était servante (diaconesse), non pasteure. Une diaconesse sert aux besoins matériels, pas à l’enseignement doctrinal. Ces femmes soutenaient les apôtres, comme les femmes qui suivaient JÉSUS pour Le servir (Luc 8:1-3), sans jamais enseigner.

Marie de Magdala : Première témoin, pas docteure

Certains prennent le fait que JÉSUS apparaisse d’abord à Marie comme justification d’un ministère féminin. Mais jamais JÉSUS ne l’a envoyée enseigner. Elle fut témoin de Sa résurrection. Paul, dans 1 Corinthiens 15, ne la mentionne même pas dans les apparitions officielles, mais commence par Pierre. L’autorité d’enseignement ne lui a jamais été confiée.

Débora, Hulda, Marie : Des prophétesses, pas doctrinaires

L’Ancien Testament mentionne des femmes prophétesses, mais aucune n’a jamais été chargée d’enseigner la loi. Débora jugeait le peuple, elle ne prêchait pas. Hulda a transmis une parole ponctuelle de DIEU, elle n’a pas enseigné continuellement. Marie, sœur de Moïse, chantait, elle n’enseignait pas. Aucune n’avait autorité spirituelle sur l’assemblée.

Les filles de Philippe : Don spirituel sans ministère

Actes 21:9 parle des filles de Philippe qui prophétisaient. Ce n’est pas une fonction ministérielle, mais un don ponctuel. Elles n’enseignaient pas dans l’assemblée. Il faut distinguer le don spirituel (1 Corinthiens 12) du ministère établi (Éphésiens 4:11).

Junias : Homme et Non Femme

Romains 16:7 est souvent utilisé frauduleusement pour imposer une apôtre femme. Mais Junias est masculin. Paul n’aurait jamais contredit ses propres instructions. Seuls ceux qui méprisent la saine doctrine osent manipuler ce verset.

Priscille et Aquilas : Un soutien féminin, pas une co-prédicatrice

Dans Actes 18:26, Priscille et son mari Aquilas aident Apollos. Mais c’est Aquilas qui enseigne. Priscille est mentionnée par courtoisie. Aucune autorité ne lui est donnée. Elle n’a jamais pris la parole dans une assemblée pour enseigner.

L’ordre établi Par DIEU : L’homme Enseigne, La femme Soutient

Genèse 2:18 montre que la femme est une aide. 1 Timothée 2:13-15 réaffirme cet ordre. Ce n’est ni machisme, ni tradition : c’est la structure établie par DIEU. L’homme porte la responsabilité de l’enseignement. La femme est appelée à soutenir, non à diriger.

Conclusion

Ceux qui veulent que les femmes enseignent dans l'Église sont en rébellion ouverte contre la volonté de DIEU. Ce n’est pas un sujet secondaire. DIEU a frappé Usa pour avoir touché l’arche avec de bonnes intentions (1 Chroniques 13). L’intention ne justifie jamais la désobéissance.

L’ordre de DIEU doit être respecté. L’enseignement doctrinal est une charge sacrée, confiée aux hommes choisis par DIEU. La femme a un rôle glorieux : celui de servante, de mère, de conseillère pieuse, de témoin fidèle. Mais elle ne peut pas prêcher dans l’Église.

Que les femmes craignant DIEU retrouvent la pudeur, la soumission et la crainte du SEIGNEUR. Que les hommes craignant DIEU repoussent la séduction de ce siècle et rétablissent l’ordre biblique dans les assemblées.

Car quiconque transgresse cette ordonnance court à la ruine.

Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende.